Nous tenons à souligner que les terres sur lesquelles nos bureaux sont situés font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks) qui a longtemps servi de lieu de rassemblement et d’échange entre les nations. Ces terres ont été habitées bien avant notre arrivée et le sont toujours par plusieurs nations et nous reconnaissons la relation que celles-ci ont créée avec la terre ainsi que leur droit sur celle-ci.

Tio’tia:ke (Montréal) a longtemps été un lieu de rencontre et d’échange entre les nations, y compris les Kanien’keha:ka (de la Confédération des Haudenosaunee), les Hurons/Wendat, les Abénaquis et les Anishinaabeg (Algonquin).

Nous remercions la terre sur laquelle nous vivons de nous avoir fourni les ressources nécessaires à notre survie et à notre croissance. La Terre a existé bien avant que les humains ne l’aient habitée, et elle persistera longtemps après notre départ.

Nous reconnaissons le rôle des Kanien’keha:ka, en tant que gardiens des terres et des eaux, dans la protection et l’entretien des ressources dont nous bénéficions aujourd’hui.

Nous reconnaissons également les centaines de groupes des Premières nations, des Inuits et des Métis qui ont été les intendants de l’île de la Tortue, et nous appuyons la résistance autochtone continue dans tout le «‘’Canada’’».

Nous sommes conscients que reconnaître la terre n’est pas une réconciliation. Nous affirmons notre appui aux luttes autochtones en toute connaissance que nous avons encore beaucoup de chemin à accomplir.